Bronny James et la Switch : la fusion de deux légendes

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Bronny James, le N64 et ses pépites : Un truc de ouf !

Alors là, accrochez-vous à vos slips. On sait tous que LeBron James, le King, est une bête sur le parquet. Mais son fiston, Bronny, il a l’air d’avoir hérité d’un autre truc de son daron : le bon goût pour les vieilleries qui défoncent. Figurez-vous qu’un jour, dans une interview à la cool, on lui a balancé une vidéo de GoldenEye 007 sur Nintendo 64. Le mec a eu un sourire jusqu’aux oreilles, comme si on venait de lui offrir un kebab gratos à Barbès. Un vrai signe des dieux.

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Ce petit clin d’œil, ça nous a mis la puce à l’oreille. Le Bronny, c’est pas juste un futur crack du basket qui fait des chèques en bois avec son talent. Non, c’est un gamin qui a saigné la N64. On l’imagine bien, après une séance de tirs à la con, se vautrer sur un pouf et allumer la console. Faut le voir pour le croire. Mettre des mines de proximité à ses potes sur GoldenEye ou jeter des carapaces bleues dans Mario Kart 64, ça forge un caractère, mon pote. C’est pas pour les pieds-tendres.

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Maintenant, avec son histoire de cœur qui a fait flipper tout le monde – heureusement, ça va mieux –, on espère qu’il prend du temps pour lui. Peut-être même qu’il a ressorti la vieille console du grenier pour se détendre. Après tout, rien de tel qu’une partie de Zelda: Ocarina of Time pour oublier que ton avenir, c’est de peser des millions d’euros. On lui souhaite de tout déchirer à la fac et après. Et qui sait, peut-être qu’un jour il sortira sa propre version d’un jeu N64. On achète direct. C’est pas tous les jours qu’on a un mec qui a du sang de champion et une âme de geek. Allez, santé.

LeBron James and the «Lord of the Rings” N64 game

Ah, mais attends, l’histoire devient encore plus maboule. T’es pas prêt. Parce que les fans, parfois, ils ont des idées qui sortent du fin fond de la Creuse, mais en version génie. Un mec, un vrai de vrai, un passionné avec des doigts de fée et sûrement trop de temps libre, a décidé de pousser le délire jusqu’au bout. Il a pris une vieille cartouche N64, il l’a bidouillée, et il a créé un jeu vidéo. Mais pas n’importe lequel, mon gars. Le titre ? LeBron James au Seigneur des Anneaux. Ouais, t’as bien lu. C’est pas une vanne du Gorafi.

Imagine le tableau : LeBron, en mode Aragorn, mais avec un maillot des Lakers et des pompes qui coûtent un SMIC. Au lieu de l’Anneau Unique, il doit dunker un ballon en fusion dans le volcan du Mordor. Ses ennemis ? Des orques avec la tête de Stephen Curry et des gobelins qui dribblent comme des manches. C’est du grand n’importe quoi, mais c’est du génie pur. Le créateur a même posté des vidéos. On voit le King balancer des « chasedown blocks » sur des Nazgûl. C’est plus fluide que le RER B aux heures de pointe.

On sait pas si Bronny a vu cette pépite, mais on parierait nos derniers tickets resto que ça lui plairait. Ça mélange ses deux mondes : le basket de daron et les jeux qui piquent les yeux. C’est la preuve que quand on aime, on ne compte pas les polygones. Ce jeu, il existera jamais en boutique à Châtelet, mais dans nos cœurs, il est déjà jeu de l’année. Franchement, qui a besoin de la PS5 quand t’as des fans aussi timbrés ? Personne. Point barre.

Le Top 5 Non-Officiel des Vices Ludiques de LeBron James

1. Candy Crush Saga

On commence en douceur, mais c’est peut-être le secret le mieux gardé de la NBA. Oubliez les analyses tactiques complexes sur sa tablette avant un match. La vérité, c’est qu’il est probablement en train d’essayer de passer le niveau 3478 de Candy Crush. On l’a tous vu, cette lueur de concentration intense dans ses yeux pendant un temps mort. On croyait qu’il visualisait sa prochaine action, mais non, il se demandait juste comment aligner cinq bonbons rayés pour débloquer les putains de gelées dans le coin.

Imagine la scène : le coach dessine des systèmes au tableau, et LeBron, hochant la tête d’un air grave, marmonne « Divine ! » sous sa serviette. Ses coéquipiers pensent qu’il est inspiré, mais en réalité, il vient de réussir un combo qui lui a rapporté une sucette-marteau. C’est ça, la vraie pression. Gagner un quatrième titre, c’est du pipi de chat à côté de finir un niveau « Super Difficile » sans utiliser de boosters payants. On raconte même que sa fameuse célébration « The Silencer » n’est pas pour faire taire la foule, mais pour savourer en silence une cascade de bonbons réussie. C’est une info qui vaut de l’or, gardez-la pour vous.

2. Madden NFL (Toutes les versions)

Là, c’est du sérieux. LeBron, c’est un athlète monstrueux qui aurait pu défoncer tout le monde en NFL. Cette frustration, ce « et si ? », il l’exorcise sur sa console. Madden, c’est son jardin secret. Dans le bus de l’équipe, après une défaite rageante contre les Nuggets, vous pouvez être sûr qu’il allume sa PlayStation Portable (ou n’importe quel truc qui traîne) et qu’il prend les Cleveland Browns pour leur faire gagner dix Super Bowls d’affilée. C’est sa thérapie.

Les rumeurs disent qu’il est obsessionnel. Il passe des heures à créer son propre joueur, un « tight end » de deux mètres dix avec la vitesse de Tyreek Hill et les mains d’un chirurgien. Il ajuste chaque statistique, chaque équipement. Il paraît même qu’il simule des conférences de presse dans sa tête après ses victoires virtuelles. Quand on le voit froncer les sourcils sur le banc, il n’est pas en train de penser à la défense adverse. Il se demande s’il doit tenter une « Hail Mary » ou jouer la sécurité avec une course au centre. C’est ça, être le GOAT : dominer deux sports, dont un qui n’existe que dans une galette de plastique.

3. NBA 2K (Mode « MyCareer », mais en secret)

C’est l’évidence même, mais avec une nuance tordue. Bien sûr qu’il joue à NBA 2K. Mais il ne joue pas avec son propre personnage. Ça, c’est pour les touristes. Non, LeBron, c’est un vicelard. Il crée un joueur anonyme, un meneur d’un mètre soixante-quinze, un peu grassouillet, avec un nom improbable comme « Didier Bourdon ». Et son seul et unique objectif dans le mode « MyCareer » est de détrôner LeBron James.

Il joue pour une équipe de bras cassés, genre les Detroit Pistons. Il passe des nuits blanches à s’entraîner pour battre son propre avatar numérique. C’est son test ultime. S’il arrive à postériser le LeBron de 2K avec son petit personnage tout pourri, alors il sait qu’il est vraiment invincible. C’est d’une perversité psychologique incroyable. Il doit jubiler en secret quand le commentateur du jeu s’exclame : « Oh ! Didier Bourdon a complètement humilié LeBron James sur cette action ! ». C’est une lutte contre son propre ego, jouée dans le silence de sa chambre d’hôtel à 3 heures du matin. C’est presque de l’art.

4. GoldenEye 007 (sur un émulateur)

Le cœur a ses raisons que la raison ignore. On en a parlé pour Bronny, mais le daron est le patient zéro. GoldenEye sur N64, c’est sa madeleine de Proust. Il ne l’admettra jamais publiquement, de peur de passer pour un vieux con. Mais on est certains qu’il a un émulateur N64 planqué dans un dossier « Comptabilité » sur son ordinateur portable. Quand tout le monde dort, il lance le jeu.

Il ne joue pas pour finir la mission « Dam » en 00 Agent. Non, il refait la même chose en boucle : du multijoueur, en mode « License to Kill », avec des pistolets d’or, dans le niveau « Facility ». Contre trois bots réglés en difficulté maximale. Et il ne joue qu’avec Oddjob, le petit tricheur au chapeau. C’est son plaisir coupable. C’est un retour aux sources, à l’époque où il n’était pas une marque mondiale mais juste un gamin d’Akron qui voulait coller une baffe virtuelle à ses potes. Ce son de la Klobb qui tire en rafale doit être plus relaxant pour lui qu’un massage à 500 euros.

5. Pokémon GO

C’est la rumeur la plus folle, mais elle tient la route. Pensez-y. LeBron voyage tout le temps. Des aéroports, des hôtels, des arènes… C’est le terrain de jeu parfait pour un chasseur de Pokémon. On l’imagine, marchant d’un pas faussement nonchalant dans les couloirs du Crypto.com Arena, son téléphone discrètement à la main. Il ne cherche pas les toilettes, il traque un Ronflex rare qui bloque le passage.

Les photos où on le voit pointer du doigt quelque chose au loin ? Il n’indique pas une stratégie à ses coéquipiers, il signale un PokéStop à Anthony Davis. Ses sprints soudains sur le parquet ? C’est pour faire éclore un œuf de 10 km avant la fin du quart-temps. C’est logique. Et ça expliquerait beaucoup de choses. Cette obsession pour « attrapez-les tous » s’applique aussi bien aux titres NBA qu’aux créatures de Kanto. Le King ne veut pas seulement être le meilleur dresseur de sa génération. Il veut être le meilleur dresseur, point. C’est tout lui.

Point final.

Bref, qu’on soit le King de la NBA qui bute des orques sur un jeu fait maison, un ado qui rêve de la Draft en se remémorant les pixels de GoldenEye, ou juste un mec normal qui veut aligner des bonbons dans le métro, au fond, le délire reste le même : s’évader. Et pour ça, faut avouer que la Nintendo Switch, c’est un peu l’arme fatale. Elle se fout de savoir si t’es un pro-gamer ou un débutant qui confond les gâchettes. Tu peux la trimballer partout, de ton canapé miteux à un jet privé pour Los Angeles. Elle te permet de jouer à des chefs-d’œuvre comme Zelda ou de te lancer dans une partie rapide d’un jeu indé à deux balles. C’est la console passe-partout, sans prise de tête, qui te rappelle que le plus important, c’est juste de s’amuser. Point final.